
Des études récentes montrent que la prise de médicament pour le TDAH peut temporairement ‘calmer’ les symptômes visibles, mais ceux-ci reviennent. De plus, elle ralentit un peu la croissance, ne résoud pas les soucis d’investissement durable dans les activités par exemple à l’école, et peut disparaître avec un changement d’environnement.
Cela soutient une prise en charge qui prenne en compte l’environnement de l’enfant et sa singularité subjective : la manière dont il investi le monde et les personnes qui l’entourent.
« La psychiatrie et la psychanalyse, ne soignent pas des maladies, mais des personnes qui se trouvent dans un état de souffrance et dont il faut percevoir l’ensemble des difficultés sans se contenter de faire taire le symptôme le plus apparent »
Pour plus d’information consulter le site Le Carnet Psy